palazzetto bru zane centre de musique romantique française
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FESTIVAL LE SALON ROMANTIQUE DAL 2 AL 28 FEBBRAIO 2013 Palazzetto Bru Zane – sabato 16 febbraio 2013, ore 20 Al crepuscolo del Romanticismo Quatuor Manfred Marie Béreau e Luigi Vecchioni, violini Emmanuel Haratyk, viola Christian Wolff, violoncello PALAZZETTO BRU ZANE CENTRE DE MUSIQUE ROMANTIQUE FRANÇAISE Il quartetto d’archi nell’Ottocento Portato alla perfezione stilistica da Haydn e Mozart, il genere del quartetto diventa con Beethoven un luogo di sperimentazione in cui nessuno strumento predomina sugli altri. Concezione che non prevale immediatamente in Francia: Rode e Kreutzer coltivano il “quartetto brillante”, in cui il primo violino canta accompagnato dai suoi tre comprimari. Ma sotto l’influsso beethoveniano s’imporrà a poco a poco la maniera egualitaria, di pari passo con la concezione che fa del quartetto il genere serio per eccellenza, luogo delle confidenze del compositore. Mentre oltre Reno sono Schubert, Mendelssohn, Schumann o Brahms a scrivere quartetti, in Francia ne scrivono Reber, Boëly, David, Blanc, Gouvy o Castillon. Particolare attenzione meritano le produzioni di Onslow e di Dancla: il primo s’inserisce nel solco di Mendelssohn e Beethoven (trentasei quartetti tra il 1811 e il 1846), il secondo adotta uno stile melodico più leggero (quattordici quartetti tra il 1839 e... il 1900!). Nell’ultimo quarto di secolo il genere si fa più profondo: le partiture sono meno numerose ma più dense. Accanto a Gounod, e mentre in un primo tempo Saint-Saëns e Fauré evitano il genere, nel 1890 Franck offre invece un importante contributo che ispira il giovane Debussy, d’Indy, Chausson, Magnard, e dal quale Ravel sarà il primo a emanciparsi nel 1903. Le quatuor à cordes au XIXe siècle Porté à sa perfection stylistique par Haydn et Mozart, le genre du quatuor devient avec Beethoven un lieu d’expérimentation, où aucun instrument ne prime sur les autres. Conception qui ne prévaut pas immédiatement en France : Rode et Kreutzer cultivent le « quatuor brillant », où le premier violon chante, accompagné par ses trois comparses. Mais sous l’influence beethovénienne, la manière égalitaire s’imposera peu à peu, de même que la conception faisant du quatuor le genre sérieux par excellence, lieu des confidences du compositeur. Tandis qu’outre-Rhin Schubert, Mendelssohn, Schumann ou Brahms écrivent des quatuors, ce sont en France Reber, Boëly, David, Blanc, Gouvy ou Castillon. Les productions d’Onslow et de Dancla méritent une attention particulière : le premier s’inscrit dans les lignées de Mendelssohn et Beethoven (trente-six quatuors entre 1811 et 1846), le second use d’un style mélodique plus léger (quatorze quatuors entre 1839 et... 1900 !). Dans le dernier quart du siècle, le genre s’approfondit : les partitions sont moins nombreuses mais plus denses. À côté de Gounod, et tandis que Saint-Saëns et Fauré évitent d’abord le genre, Franck lui apporte en 1890 une contribution majeure qui inspire le jeune Debussy, d’Indy, Chausson, Magnard, et dont Ravel sera le premier à s’émanciper en 1903. 1 Louis Vierne Quatuor à cordes en ré mineur op. 12 Introduction. Lento ; Allegro agitato – Intermezzo. Leggiero non troppo vivo Andante quasi adagio – Final. Allegro vivace Albéric Magnard Quatuor à cordes en mi mineur op. 16 Sonate. Animé – Sérénade. Vif Chant funèbre. Largement, sans lenteur – Danses. Vif, populaire In partenariato con/En partenariat avec Haus Burgund; Opéra de Dijon; Musique en voûte; Automnales du Château; Festival Berlioz Académie de France à Rome – Villa Medici; Gallerie d'Italia – Palazzo Leoni Montanari Le opere Les œuvres Louis Vierne: Quartetto per archi op. 12 Introduction. Lento; Allegro agitato – Intermezzo. Leggiero non troppo vivo – Andante quasi adagio – Final. Allegro vivace Louis Vierne : Quatuor à cordes op. 12 Introduction. Lento ; Allegro agitato – Intermezzo. Leggiero non troppo vivo – Andante quasi adagio – Final. Allegro vivace Cercando di mettere in pratica l’insegnamento ricevuto da Charles-Marie Widor, Louis Vierne compone nel 1894 la sua prima partitura di rilievo e la dedica al proprio maestro. L’intento è di sintetizzare una padronanza tecnica e non di dare prova d’audacia, il che spiega il carattere tradizionalista dell’opera. Che Vierne ne abbia in seguito minimizzato la portata è comprensibile; essa tuttavia non è priva d’interesse, come ha peraltro dimostrato l’accoglienza entusiastica riservatale alla prima esecuzione, il 24 febbraio 1896, alla Société de musique nouvelle. L’Allegro agitato è introdotto da un breve Lento dalle armonie cromatiche. Si distinguono poi due temi, il primo inquieto e accompagnato in maniera sfrenata, il secondo più lirico. L’Intermezzo presenta dapprima un motivo vivace e sinuoso (sostenuto da pizzicati e note ribattute), quindi un canone dei due violini (accompagnato da un pedale del violoncello); questi due temi riappaiono in nuove configurazioni. Il pubblico della prima non si era ingannato reclamando che venisse bissato questo movimento pieno di spirito. L’Andante quasi adagio si apre su un tema particolarmente espressivo del primo violino. La parte centrale del movimento, “poco agitato”, è più angosciata. Dopo il ritorno del tema iniziale, la conclusione si basa sulla materia della sezione centrale. Il finale Allegro vivace giustappone un moto Cherchant à mettre en application l’enseignement qu’il a reçu de Charles-Marie Widor, Louis Vierne compose en 1894 sa première partition d’importance – et c’est à son maître qu’il la dédie. Il s’agit de synthétiser une maîtrise technique, et non de faire preuve d’audace, ce qui explique le caractère traditionnaliste de l’œuvre. Que Vierne ait par la suite minimisé sa portée est compréhensible ; elle n’est pourtant pas dénuée d’intérêt, comme l’a d’ailleurs montré l’accueil enthousiaste qui lui fut réservé à sa création, le 24 février 1896 à la Société de musique nouvelle. L’Allegro agitato est introduit par un bref Lento aux harmonies chromatiques. Deux thèmes se distinguent ensuite, le premier inquiet et accompagné de façon haletante, le second plus lyrique. L’Intermezzo présente d’abord un motif vif et sinueux (que soutiennent pizzicati et notes répétées), puis un canon des deux violons (accompagné par une pédale du violoncelle) ; ces deux thèmes reparaissent dans de nouvelles configurations. Le public de la création ne s’était pas trompé, qui réclama que ce mouvement plein d’esprit soit bissé. L’Andante quasi adagio s’ouvre sur un thème particulièrement expressif du premier violon. La partie centrale du mouvement, « poco agitato », est plus angoissée. Après le retour du thème initial, la conclusion s’appuie sur la matière de la section centrale. Le finale Allegro vivace juxtapose un mouvement perpétuel, très mendelssohnien d’écriture, à un thème plus calme. Pour finir, ce3 perpetuo, assai mendelssohniano nella scrittura, a un tema più calmo. Infine quest’ultimo sarà oggetto di un trattamento fugato, occasione per Vierne di far valere la propria padronanza tecnica. La scrittura contrappuntistica scompare nella conclusione, energica come si conviene. lui-ci fera l’objet d’un traitement fugué – manière pour Vierne de faire valoir sa maîtrise technique. L’écriture contrapuntique disparaît dans la conclusion, vaillante, comme il se doit. Albéric Magnard: Quartetto per archi in mi minore op. 16 Sonate. Animé – Sérénade. Vif – Chant funèbre. Largement, sans lenteur – Danses. Vif, populaire Albéric Magnard : Quatuor à cordes en mi mineur op. 16 Sonate. Animé – Sérénade. Vif – Chant funèbre. Largement, sans lenteur – Danses. Vif, populaire Composto nel 1902-1903, questo quartetto per archi è perfettamente contemporaneo a quello di Ravel. Alla sua prima esecuzione alla Société nationale de musique il 19 marzo 1904 i critici sottolineano la difficoltà a seguire questa ridondante partitura. Non si tratta solo dell’interpretazione perfettibile del Quatuor Zimmer. Su «Le Temps», Pierre Lalo pubblica tuttavia una recensione entusiastica, preferendo l’opera di Magnard a quella di Ravel eseguita due settimane prima: “Il primo pezzo e l’Andante, che sono manifestamente le parti essenziali dell’opera, difendono aspramente il proprio segreto contro chi pretende di penetrarlo di primo acchito. L’esposizione appare commovente e bella, in particolare nell’Andante; poi il senso dello sviluppo sfugge. Qua e là alcuni passaggi s’illuminano all’improvviso, poi si perde nuovamente di vista il seguito e l’evoluzione dell’opera. Ma si ha la netta sensazione che quei momenti in cui nulla si vede non siano vuoti; al contrario li si intuisce pieni di forme e di idee che si vorreb- Composé en 1902-1903, ce quatuor à cordes est l’exact contemporain de celui de Ravel. Lors de sa première audition à la Société nationale de musique, le 19 mars 1904, les critiques soulignent la difficulté à suivre cette partition touffue. L’interprétation perfectible du Quatuor Zimmer n’est pas seule en cause. Dans Le Temps, Pierre Lalo publie toutefois un compte rendu enthousiaste, préférant l’œuvre de Magnard à celle de Ravel, créée deux semaines auparavant : « Le premier morceau et l’Andante, qui sont manifestement les parties essentielles de l’œuvre, défendent âprement leur secret à qui le prétend pénétrer du premier coup. L’exposition en apparaît émouvante et belle, dans l’Andante en particulier ; puis le sens du développement se dérobe. Çà et là des passages s’éclairent soudain et de nouveau on perd de vue la suite et l’évolution de l’œuvre. Mais on a la sensation nette que ces moments où l’on ne voit rien ne sont pas vides ; tout au contraire on les devine pleins de formes et d’idées que l’on voudrait saisir ; sous l’abstraction de la pensée, on ne cesse de percevoir la vie intense 4 bero cogliere; sotto l’astrazione del pensiero non si smette di percepire l’intensa vita del sentimento.” Alla trasparenza raveliana Magnard contrappone infatti un linguaggio aspro e un contrappunto denso perfino nella Sérénade, più leggera e luminosa degli altri movimenti. Uno degli episodi del finale associa un ritmo di valzer alla scrittura fugata! Monumentale, l’opera abbandona la forma ciclica a cui aderisce ancora Ravel e rivendica il modello beethoveniano, risultando senza equivalenti nella storia del quartetto per archi francese. du sentiment. » À la transparence ravélienne, Magnard oppose en effet un langage âpre et un contrepoint dense, même dans la Sérénade, plus légère et lumineuse que les autres mouvements. L’un des épisodes du finale associe un rythme de la valse à l’écriture fuguée ! Monumentale, abandonnant la forme cyclique à laquelle souscrit encore Ravel, l’œuvre revendique le modèle beethovénien et s’avère sans équivalent dans l’histoire du quatuor à cordes français. 5 I compositori Les compositeurs Albéric Magnard (1865-1914) Diplomato in giurisprudenza, Magnard decide di dedicarsi alla musica dopo aver sentito Tristan und Isolde a Bayreuth nel 1886. Allievo di Dubois, Guiraud e Massenet al Conservatorio, riceve un primo premio di armonia nel 1888, quindi prosegue gli studi con d’Indy. Nel 1896 diventa docente di contrappunto alla Schola cantorum, dove avrà come allievo Déodat de Séverac. Indipendente e intransigente, rifiutando gli appoggi che potrebbe procurargli la posizione del padre (direttore di «Le Figaro») pubblica le sue opere in proprio – salvo ostacolarne la diffusione. Anche una sordità parziale contribuisce al suo isolamento sociale. Quando scoppia la guerra è a Baron, nell’Oise, dove si è stabilito nel 1904. Perisce nell’incendio della propria casa, dopo aver sparato sulle truppe tedesche. Autore di varie partiture teatrali (Yolande, Bérénice e Guercœur, il suo capolavoro lirico), dà il meglio di sé nelle quattro sinfonie e nella musica da camera. Rivelatrice è la prefazione di Bérénice: “La mia partitura è scritta in stile wagneriano. Privo del genio necessario per creare una nuova forma lirica, ho scelto tra gli stili esistenti quello che meglio conveniva ai miei gusti assolutamente classici e alla mia cultura musicale assolutamente tradizionale. Ho solo cercato di avvicinarmi quanto più possibile alla musica pura.” All’influsso di Wagner si sommano quello di Beethoven e dell’estetica della Schola. Cultore di un contrappunto denso e di un teso lirismo, Magnard si contrappone a Debussy, del quale rifiuta i sortilegi armonici e orchestrali. 6 Albéric Magnard (1865-1914) Diplômé en droit, Magnard décide de se consacrer à la musique après avoir entendu Tristan et Isolde à Bayreuth en 1886. Élève de Dubois, Guiraud et Massenet au Conservatoire, il obtient un premier prix d’harmonie en 1888, puis poursuit ses études avec d’Indy. En 1896, il devient professeur de contrepoint à la Schola cantorum, où il aura pour élève Déodat de Séverac. Indépendant et intransigeant, refusant les appuis que pourrait lui procurer la situation de son père (directeur du Figaro), il édite ses propres œuvres – quitte à entraver leur diffusion. Sa surdité partielle contribue aussi à son isolement social. Quand la guerre éclate, il est à Baron, dans l’Oise, où il s’est installé en 1904. Il périt dans l’incendie de sa maison, après avoir tiré sur les troupes allemandes. Auteur de plusieurs partitions théâtrales (Yolande, Bérénice et Guercœur, son chef-d’œuvre lyrique), il donne le meilleur de lui-même dans ses quatre symphonies et sa musique de chambre. La préface de Bérénice est révélatrice : « Ma partition est écrite dans le style wagnérien. Dépourvu du génie nécessaire pour créer une nouvelle forme lyrique, j’ai choisi parmi les styles existants celui qui convenait le mieux à mes goûts tout classiques et à ma culture musicale toute traditionnelle. J’ai seulement cherché à me rapprocher le plus possible de la musique pure. » À l’influence de Wagner s’ajoute celle de Beethoven et de l’esthétique de la Schola. Cultivant un contrepoint dense et un lyrisme tendu, Magnard s’oppose à Debussy, dont il rejette les sortilèges harmoniques et orchestraux. Louis Vierne (1870-1937) Affetto alla nascita da una cataratta congenita, Louis Vierne acquista parzialmente la vista solamente a sei anni. Intraprende allora a Lilla degli studi musicali che prosegue a Parigi dove si è trasferita la sua famiglia. Allievo dal 1881 dell’Istituto nazionale dei giovani ciechi, v’incontra César Franck che l’orienta verso la pratica dell’organo. Una serie di lezioni con Louis Lebel e Franck lo conduce al Conservatorio all’inizio degli anni Novanta. Qui Vierne diventa presto assistente di Widor (incarico che svolgerà gratuitamente per oltre vent’anni) e nel 1894 riceve il primo premio di organo. Nel 1900 ottiene il prestigioso posto di organista titolare di Notre-Dame. Tuttavia per tutta la vita gli rimarrà una grande delusione: non riuscirà mai a realizzare la propria ambizione di dirigere la classe di organo del Conservatorio. Si consolerà con un posto di docente alla Schola cantorum e poi all’École César Franck. Questa frustrazione professionale, la cecità progressiva e ricorrenti problemi finanziari alimentano in lui una profonda malinconia, accentuata dalla perdita del figlio e del fratello durante la prima guerra mondiale (al fratello dedicherà la bellissima mélodie Solitude). Di Vierne si rammentano principalmente le opere per organo, in particolare le Sei Sinfonie. In esse il compositore sviluppa uno stile fortemente cromatico che si fonda su un’elaborata trama armonica. Elementi caratteristici di queste composizioni sono altresì il colore modale dei temi e l’impiego di ritmi sincopati. A sessantasette anni una crisi cardiaca stronca Vierne mentre sta tenendo un concerto a Notre-Dame. Louis Vierne (1870-1937) Affligé à la naissance d’une cataracte congénitale, Louis Vierne n’acquiert une vue partielle qu’à six ans. Il entame alors des études musicales à Lille qu’il poursuit à Paris après le déménagement de sa famille. Élève, à partir de 1881, de l’Institution nationale des jeunes aveugles, il y rencontre César Franck qui l’oriente vers la pratique de l’orgue. Des leçons avec Louis Lebel et Franck le conduisent au Conservatoire au début des années 1890. Vierne y devient rapidement assistant de Widor (tâche qu’il effectuera gratuitement pendant plus de vingt ans) et remporte son premier prix d’orgue en 1894. En 1900, il obtient la prestigieuse place d’organiste titulaire de Notre-Dame. Néanmoins, il garda toute sa vie une grande déception : ne pas voir se réaliser son ambition de diriger la classe d’orgue du Conservatoire. Il se consolera avec une place d’enseignant à la Schola cantorum puis à l’École César Franck. Cette frustration professionnelle, sa cécité progressive et des problèmes financiers récurrents nourrissent chez lui une profonde mélancolie, accentuée par la perte de son fils et de son frère pendant la Première guerre mondiale (il dédiera à son frère la très belle mélodie Solitude). On retient essentiellement de Vierne ses œuvres pour orgue, notamment ses Six Symphonies. Le compositeur y développe un style très chromatique reposant sur une trame harmonique recherchée. La couleur modale des thèmes et l’utilisation de rythmes syncopés sont également des éléments caractéristiques de ces compositions. À 67 ans, une crise cardiaque le terrasse au milieu d’un récital qu’il donne à Notre-Dame. 7 Gli interpreti Les interprètes Quatuor Manfred Marie Béreau e Luigi Vecchioni, violini Emmanuel Haratyk, viola Christian Wolff, violoncello Quatuor Manfred Marie Béreau et Luigi Vecchioni, violons Emmanuel Haratyk, alto Christian Wolff, violoncelle Il Quatuor Manfred è stato fondato nel 1986. Ha vinto i Concorsi di Banff (Canada) ed Évian. Con partner come Mstislav Rostropovich, Yuri Bashmet, Tatiana Nikolayeva, Bruno Canino e musicisti della sua generazione che apprezza in modo particolare come Claire Désert, Raphaël Pidoux, Marc Coppey, Nicolas Bône, Raphaël Oleg, Florent Héau, Pascal Moragues suona a Berlino, Amsterdam, Londra, Madrid, New-York, in Giappone, Svezia, Cina e Russia Il suo repertorio e discografia riguardano principalmente la ricerca sul repertorio romantico e i quartetti del primo Novecento: Schoenberg (grand prix du disque), Berg (ffff «Télérama»), Janáček, Smetana (Choc di «Le Monde de la musique»), Schumann (10 di «Répertoire»), Mozart (5 Diapason) e recentemente Chausson (4 Diapason, 4 stelle di «Classica»). Desideroso di ampliare il suo orizzonte ad altre forme musicali, il quartetto realizza alcuni progetti con il musicista jazz Raphaël Imbert e la sua Compagnie Nine Spirit. Un primo disco Bach-Coltrane, nato da questa collaborazione, ha ricevuto un’accoglienza eccezionale da parte del pubblico. Dal 1986 il Quatuor Manfred è ensemble residente a Digione, città nella quale ha creato la propria stagione Quatre archets pour Dijon. Fondatore anche del Le Quatuor Manfred a été fondé en 1986. Il remporte le Concours de Banff (Canada) puis celui d’Évian. Ayant eu pour partenaires Mstislav Rostropovich, Yuri Bashmet, Tatiana Nikolayeva, Bruno Canino ainsi que des musiciens de sa génération qu’il apprécie particulièrement comme Claire Désert, Raphaël Pidoux, Marc Coppey, Nicolas Bône, Raphaël Oleg, Florent Héau, Pascal Moragues, il joue à Berlin, Amsterdam, Londres, Madrid, New-York, au Japon, en Suède, en Chine et en Russie. Son répertoire et sa discographie sont principalement basés sur la recherche autour du répertoire romantique ainsi que sur les quatuors du début du XXe siècle : Schoenberg (grand prix du disque), Berg (ffff Télérama), Janacek, Smetana (Choc du Monde de la Musique), Prokofiev… ainsi que Schumann (10 de Répertoire), Mozart (5 Diapasons) et dernièrement Chausson (4 Diapasons, 4 étoiles Classica). Désireux d’étendre son horizon à d'autres formes musicales, le quatuor développe des projets avec le jazzman Raphaël Imbert et sa compagnie Nine Spirit. Un premier disque Bach-Coltrane, issu de cette collaboration, a reçu un accueil exceptionnel du public. Depuis 1986, le Quatuor Manfred est en résidence à Dijon, ville dans laquelle il a créé sa propre saison Quatre archets pour Dijon. Également 8 festival regionale Musique en voûtes, il Quatuor Manfred ha una convenzione con il Ministero della cultura e della comunicazione – Direzione degli affari culturali di Borgogna. initiateur du festival régional Musiques en voûtes, le Quatuor Manfred est conventionné par le Ministère de la culture et de la communication – Direction des affaires culturelles de Bourgogne. 9 Contributi musicologici Hélène Cao, Fanny Gribenski, Étienne Jardin, Nicolas Southon Traduzioni Paolo Vettore Palazzetto Bru Zane Centre de musique romantique française San Polo 2368, 30125 Venezia - Italia tel. +39 041 52 11 005 bru-zane.com